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El fantasma del ...
mensaje Apr 6 2014, 10:05 AM
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La oportunidad del gas


La crisis ruso-ucraniana abre claras expectativas para España en el sector




Miguel Ángel Noceda
Madrid
6 ABR 2014 - 00:00 CET





La nueva crisis entre Rusia y Ucrania (o viceversa) ha generado un debate ineludible sobre el suministro energético que trasciende de sus fronteras, salpica directamente a Europa e involucra a otras áreas del planeta. Más allá de las sanciones económicas y diplomáticas, para la Unión Europea (UE) supone un impulso que puede ser definitivo para reconfigurar un nuevo mapa energético que dé respuesta a la necesidad de diversificar fuentes y garantizar la seguridad de suministro que se reclama desde distintas estancias comunitarias antes incluso de la primera crisis vecinal de 2006. Y, como protagonista especial, en este brete aparece España, involucrada de lleno por su situación geoestratégica como punto de conexión con el norte de África y la cuenca Atlántica, y por las plantas de almacenamiento y regasificación con las que cuenta. Por eso, para España es algo más. Es la oportunidad de poner el altavoz hacia Bruselas y subrayar esa trascendencia.



El consenso parece total. El problema es continental y vuelve a poner en evidencia la ausencia durante años de una política energética europea con visión conjunta a largo plazo. “El empecinamiento de la comisión por diversificar suministros en el área de influencia rusa no pasará a la historia de la geopolítica de la energía como uno de sus más brillantes estrategias”, escribía en este periódico Gonzalo Escribano, director del Programa de Energía del Real Instituto Elcano. No obstante, Escribano reconoce que ahora “Europa afronta esta crisis mejor preparada que en otras ocasiones y en condiciones menos propicias para Rusia”, que tiene mucho más que perder en el caso de que la UE cumpla el objetivo de reducir la dependencia rusa.



EE UU pasaría a ser un socio muy importante en el mapa estratégico europeo con exportaciones de shale gas. A ello habría que añadir Latinoamérica (Brasil, México, Perú, Trinidad y Tobago...), Nigeria y Angola, también de GNL, donde España es el único país europeo con conexiones. Otros orígenes de aprovisionamiento serían el norte de África (también conectada con España), la cuenca mediterránea, Azerbaiyán y el mar Caspio, donde existen enormes reservas de gas.



Esa diversificación no significa, no obstante, cortar de raíz el suministro ruso, entre otras cosas porque no alcanzaría para abastecer ni con mucho la demanda europea, que se acerca a los 500 bcm (miles de millones de metros cúbicos en siglas inglesas) y se distribuye principalmente en la producción de electricidad (28%), residencial (26%) e industria (21%).



Además, Rusia seguiría como principal suministrador de la UE. Pero la diversificación es clave para obtener precios asequibles........




http://economia.elpais.com/economia/2014/0...403_001089.html


http://elpais.com/elpais/2014/04/04/media/...704_871242.html
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El fantasma del ...
mensaje Apr 11 2014, 09:55 PM
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CITA
Une alternative en Guinée Equatoriale qui fait peur à l'occident




Luc MICHEL pour EODE Think Tank /
Avec Cameroonvoice
Le Messager (Cameroun)
2014 04 08




« Nous regrettons la disparition du colonel Mouammar Kadhafi. Prendre le relais de son combat panafricain est difficile » - Teodoro Obiang Nguema, président de la République de Guinée Equatoriale

La Guinée Equatoriale et son président sont l’objet de la haine de l’Occident. Campagnes de dénigrement, maneuvres de déstabilisation. Une haine qui rappelle celle qui entourait la Jamahiriya libyenne de feu Kadhafi. « Vous savez, des Occidentaux cherchent à nous déstabiliser depuis des années. Ils ont envoyé des mercenaires, ils ont financé des coups d’Etat, ils ne s’arrêtent pas. Chaque année, à chaque moment, ils ne dorment pas. Pour eux, la Guinée équatoriale est un pays qui a beaucoup de richesses et ce n’est pas normal que les Africains puissent gérer eux-mêmes leurs propres richesses, s’il n’y a pas un tuteur qui vous dise faites ceci ou faites cela. Nous ici en Guinée, on se bat pour l’indépendance de ce pays », explique un des fils du président, Teodorin Obiang Nguema.

En prélude aux élections générales - sénatoriales, législatives et municipales - du 26 mai 2013, le chef de l’Etat équato-guinéen avait donné le 14 mai 2013, à Malabo, une conférence panafricaine de la presse, devant des journalistes venu.s d’Afrique (Cameroun, Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria, Comores, Bénin, Rdc, Congo-Brazza, Tchad, etc). Il y avait exposé une pensée panafricaine renouvelée, qui, deux ans après la destruction de la Jamahiriya libyenne où Moammar Kadhafi exerçait un leadership moral et politique sur l’Union Africaine – et auquel le président guinéen rendait hommage -, offre une alternative à un processus panafricain qui semblait brisé.

On connaît mal la Guinée équatoriale (1), pays important dans l’Afrique de l’Ouest, « nouvel eldorado pétrolier » qui entend « incarner aujourd'hui un nouveau modèle de développement pour l'Afrique » (2). Dans une Afrique qui va mal, où les interventions et les manipulations occidentales déstabilisent le contienent – Libye, Mali, Côte d’Ivoire, Centrafrique, sans oublier le « laboratoire » somalien -, la Guinée Equatoriale est un contre-exemple de stabilité. Depuis 2011, un processus de reconstruction de l’Etat et de développement de la vie démocratique de la République est en cours (3).

Eode et nos thèses sur l'Afrique

Les positions du président de Guinée Equatoriale rejoignent nos préoccupations.
EODE voit le processus d'unification de l'Europe et de l'Afrique comme deux voies similaires, qui doivent se réaliser en symbiose. Cela signifie pas d'intervention occidentale en Afrique et vrai respect pour les états africains. Cela signifie aussi que la Méditerranée doit devenir un pont entre les deux continents et non une frontière, comme la conçoit l’UE et l’OTAN.

Cette vision de la Méditerranée, que nous avions été les premiers à développer au début des Années 90, comme un pont était précisément celle de la Jamahiriya libyenne. Dans les Années 2000-2010, cette vision était aussi largement acceptée et partagée par tous les grands acteurs des unions européenne et africaine (4). Et agaçait énormément la diplomatie américaine. Mais la guerre en Libye marque le grand retournement : destruction de la Jamahiriya, retour aux agressions et expéditions militaires occidentales en Afrique, étouffement des idées pan-africaines.

Tout cela va à l’encontre de notre vision d’un monde multipolaire. Le rôle central joué par le dialogue des cultures est bien oublié et nous assistons au retour en Méditerranée et en Afrique des thèses bellogènes du « choc des civilisations ». Le retour des thèses panafricaines à Malabo est donc pour nous un signe positif qui va dans l’autre sens.

Que dit le président Theodoro Obiang Nguema de l'Afrique?

Voici la synthèse des préoccupations évoquées par le numéro un équato-guinéen (d’après le résumé réalisé par Frédéric BOUNGOU et Alain NJIPOU d'après un article de cameroonvoice) :

* Il dénonce le retour au néo-colonialisme :

« … rechercher des solutions aux maux qui minent l’Afrique. J’ai été favorable à cet échange parce que le continent africain est méprisé à l’échelon international. L’Afrique a souffert des affres de l’histoire. D’abord la traite négrière qui a consacré la violation des droits de l’Homme. On ne saurait, de notre point de vue, transformer des humains en esclaves.

Ensuite la colonisation. Une période au cours de laquelle, l’Afrique a été spoliée. Exploitation de l’homme, exploitation de nos richesses. Ceux qui hier étaient le socle de cette exploitation sont aussi à la base des diverses crises qui secouent le monde. Je citerai la crise du néo-colonialisme, de l’exploitation de nos richesses…Le souci de certaines puissances est de voir comment elles peuvent avoir accès à nos richesses. C’est ce qui s’est passé en Libye où on a déstabilisé le pays pour pouvoir contrôler les matières premières.

La presse africaine doit faire son travail en informant les Africains non pas en faisant confiance aux gens qui veulent exploiter ou détruire l’Afrique. C’est à ce titre que nous continuons à demander des indemnités pour le dédommagement de l’Afrique, victime de l’esclavage et de la colonisation et aujourd’hui du néo colonialisme. L’Afrique est un continent déclaré pauvre. Si nous sommes pauvres, c’est à cause de l’exploitation de nos ressources. Ceux qui n’aiment pas l’Afrique utilisent des expressions dénuées de sens du genre «Biens mal acquis» alors qu’ils disposent des propriétés en Afrique. »

* Il développe une vision panafricaine après la mort de Kadhafi :

Le temps fort du discours du président, c’est l’hommage à la vision panafricaine de Moammar Kadhafi. Un discours courageux à l’inverse et à l’encontre de la propagande occidentale.

« Nous regrettons la disparition du colonel Mouammar Kadhafi. Prendre le relais de son combat panafricain est difficile. Ce d’autant que chaque pays a sa politique et quelques différences subsistent. Globalement, beaucoup de chefs d’Etat africains étaient d’accord avec les idées de Kadhafi et ont d’ailleurs soutenu celles-ci. Je ne peux pas prendre le relais. J’invite plutôt les autres chefs d’Etat du continent noir à être solidaires. Certains chefs d’Etat sont téléguidés par des puissances occidentales, ils doivent éviter de tomber dans le piège des manipulations exogènes à l’Afrique, car ces puissances ne veulent pas que l’Afrique avance. »

Le refus des diktats occidentaux

Dans cette optique anticolonialiste, le président Teodoro Obiang Nguema refuse les diktats occidentaux :
« Je n’accepte aucune leçon de gouvernance de la part de gens qui n’ont pas hésité à piller systématiquement et qui continuent de piller l’Afrique. Je n’ai aucun complexe vis-à-vis de dirigeants occidentaux. »

« Nous donnons la priorité à la coopération sud-sud, à la coopération interafricaine. Car nous devons d’abord resserrer nos liens. N’oubliez pas que cela fait seulement cinquante ans que nous nous sommes débarrassés du joug colonial. Il faut du temps pour mettre les bases du développement. Mais nous sommes optimistes et notre volonté est que l’Afrique grandisse. »
« Nous n’attendons rien de la presse occidentale, pour agir dans le sens de construire l’Afrique (…) La presse occidentale donne une image négative de l’Afrique. »

Déjà le 31 décembre dernier, dans son « Message à la nation » , il dénonçait les puissances impérialistes et la campagne de désinformation dont la guinée équatoriale est victime : « ne soyez pas surpris car la guinée équatoriale est parmi les pays sélectionnés par les puissances en crise économique pour la déstabiliser. Le peuple jouit des grandes libertés politiques, économiques, sociales et culturelles, l'on observe un développement progressif de la démocratie (…) avec le développement des infrastructures économiques et sociales qui nous incite à continuer de travailler vers l'émergence de la Guinée équatoriale ».

Une vision régionale avec la Cemac

La Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale ou CEMAC est une organisation internationale regroupant plusieurs pays d'Afrique centrale, créée pour prendre le relais de l'Union douanière et économique de l'Afrique centrale (UDEAC). Le traité instituant la CEMAC a été signé le 16 mars 1994 à Ndjamena (Tchad) et est entré en vigueur en juin 1999. Son siège est à Bangui (République centrafricaine.) La CEMAC regroupe l’Union monétaire de l’Afrique centrale (UMAC) et l’Union économique de l’Afrique centrale (UEAC). La CEMAC est composée de 6 États membres : Cameroun, République centrafricaine, République du Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad.

Le président équato-guinéen a aussi une vision pour la CEMAC et la région :

« La politique d’intégration en zone de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale prône la libre circulation des personnes et des biens. Il faut cependant se garder de tomber dans le piège de la mauvaise interprétation de cette politique. Car nous devons contrôler le terrorisme, le trafic de drogue et d’armes, le grand banditisme… Toutes choses préjudiciables à une communauté qui aspire au développement.

En revanche, nous encourageons la libre circulation des hommes d’affaires, des étudiants, des scientifiques, cadres de la fonction publique et autres. En ce qui concerne l’implication de la Cemac dans la résolution de la crise en République démocratique du Congo, la solution est, de notre avis, dans la médiation politique. Les Congolais doivent eux-mêmes résoudre leurs problèmes. Ce que nous souhaitons, c’est que la Rdc vive dans la paix. Il s’agit d’un grand pays. Mais les conflits freinent les efforts de développement. Peut-être faudra-t-il une conférence nationale pour la stabilité du pays... »

Un nouveau discours en Afrique

La presse africaine ne s’y est pas trompée. C’est bien un discours nouveau en Afrique. Ecoutons l’analyse de Frédéric BOUNGOU (Le Messager via Cameroonvoice) : « Pour lui, c’est bien simple : pour se développer, l’Afrique doit se départir du joug néo colonial, ses dirigeants doivent cesser d’être des pantins au service de l’Occident, et penser d’abord et avant tout au bien-être de leurs concitoyens. « Je n’ai aucun complexe vis-à-vis des dirigeants européens », soutient-il par exemple. L’Afrique, selon lui, dispose de potentialités énormes : ses ressources naturelles. Il lui faut donc seulement la volonté de ses dirigeants pour la faire décoller économiquement. Ci-dessous la quintessence de cette conférence de presse. Une profession de foi ? Une vraie leçon à ses pairs africains, surtout... »

Vers un modèle Equato Guinéen

Nous soulignons que la Guinée Equatoriale était un Etat en reconstruction, où un processus élaboré de développement de la vie démocratique de la République est en cours. Dans un livre très dur pour le Pays, Samuel Denantes Teulade (5) évoquait déjà en 2009à propos de Malabo la possibilité d’ « un nouveau modèle de développement pour l'Afrique ».

Le président Teodoro Obiang Nguema, qui définit son pays comme "un état social et de droit" (décembre 2012), développe aujourd’hui incontestablement une vision pour son pays. Revenons à sa conférence de presse de ce 14 mai 2013.

* Il insiste sur la reconstruction des institutions de l’Etat :

« L’avènement du Sénat participe d’une vision d’ensemble. Nous travaillons à la réforme de nos textes et lois pour que les Equato-guinéens participent effectivement à la gestion de la chose publique, à la vie politique. C’est dans ce cadre que de façon méthodique, nous voulons créer une chambre des représentants, mettre sur pied le Conseil économique et social, une Cour des comptes...
Nous sommes dans un processus démocratique qui épouse les réalités de nos cultures, nos traditions, nos mentalités…Dans un processus électoral crédible, deux aspects fondamentaux sont importants pour mener à bien les opérations électorales. D’abord, les inscriptions sur les listes, le recensement des votants qui ont été bien conduits au point où un document de satisfaction a été signé entre les partis politiques de l’opposition et le gouvernement. Ensuite la question du matériel électoral, notamment les ressources financières. A ce titre, le gouvernement a remis des ressources financières appropriées aux partis politiques. Tous ces aspects sont réglés. Reste attendue, la participation des populations au vote proprement dit. »

* Il vise à « l’émergence de la Guinée équatoriale », selon les termes de Cameroonvoice :

« Le gouvernement de cette République travaille pour le bien-être des fils et filles de ce pays. J’en veux pour preuve, la construction des logements sociaux, la construction des routes, la création d’une Université nationale, la création des centres et autres structures éducatifs… Dans cette dynamique, la priorité est donnée à la main d’œuvre locale. Certes, nous n’allons pas faire avec ceux qui ne veulent pas travailler, mais je peux vous assurer qu’en Guinée, il n’existe pas un problème de l’emploi. Nous avons fait instaurer une loi qui veut que les entreprises implantées dans notre pays consacrent 75% du personnel recruté à la main d’œuvre nationale. En outre, ces entreprises doivent avoir leur siège social construit sur place parce que quand ces entreprises vont partir de la Guinée équatoriale, les bâtisses vont rester au profit des Equato-guinéens. Un programme économique destiné à l’horizon 2020 ambitionne de faire de la Guinée équatoriale un pays émergent, autosuffisant. Nous ne voulons plus compter sur la dépendance économique. »

* Il mise sur l’éducation, la formations des élites nationales :

« Pour parvenir à ce cap, cela passe par la formation. A l’horizon 2020, nous voulons que nos jeunes soient des universitaires. Nous voulons laisser une nation prospère à la postérité avec des jeunes dynamiques, bien formés. Il faut retenir que la Guinée équatoriale n’est pas encore un pays émergent. Mais nous aspirons à l’émergence qui ne viendra pas facilement ou si nous croisons les bras. Nous devons y travailler. C’est dans cette optique que nous travaillons pour développer tous les secteurs d’activité, de l’agriculture à l’éducation en passant par les infrastructures de base et de communication. »

* Enfin, il entend gérer les ressources naturelles et l’après-pétrole :

« Le programme économique qui ambitionne de faire de la Guinée équatoriale un pays émergent en 2020 prend en compte la nécessité de rechercher d’autres alternatives. C’est pour cela que nous mettons un accent particulier sur la formation des jeunes, des ressources humaines car il vaut mieux avoir un peuple éduqué, bien formé qu’une nation pourvue en ressources naturelles. Le progrès dépend des compétences nationales. Tous les plans de développement sont la résultante de la vision du peuple équato-guinéen. En 2020, on ne regardera plus le pétrole, mais un pays développé. »

Le temps semble venu, avec cette vision ambitieuse, et les moyens dont dispose le pays, « nouvel eldorado pétrolier », d’un modèle équato-guinéen pour l’Afrique …

Luc MICHEL pour EODE Think Tank /
Avec Cameroonvoice – Le Messager (Cameroun) / 2014 04 08 /
www.eode.org
___________________________

Notes et renvois :

(1) Cfr. LES ATLAS DE L'AFRIQUE, GUINEE EQUATORIALE, Ed. Jeune Afrique (Paris) ;
Jean-Claude Klotchkoff , LA GUINEE EQUATORIALE AUJOURD'HUI, Les Editions du Jaguar (Paris) ;
Et GUINEA ECUATORIAL , LA GUINEE EQUATORIALE, Les Editions du Jaguar (Paris).

(2) Samuel Denantes Teulade, MALABO, GUINEE-EQUATORIALE : LE NOUVEL ELDORADO PETROLIER DE L'AFRIQUE, L’Harmattan, Paris, 2009.

(3) Cfr. Luc MICHEL, GUINEE EQUATORIALE : ELECTIONS LEGISLATIVES , SENATORIALES ET MUNICIPALES LE 26 MAI 2013,
sur http://www.eode.org/eode-international-ele...le-26-mai-2013/

(4) Cfr. Luc MICHEL, « VISIONARY AFRICA » : DIALOGUE DES CULTURES ET COOPERATION ENTRE LES UNIONS EUROPEENNE ET AFRICAINE !, « La culture placée au cœur du dialogue Afrique-Europe ! », in LIBYA NEWS & FACTS, bulletin du CEREDD (Bruxelles et Paris) n° 2.150, 25 octobre 2010.


http://cameroonvoice.com/news/article-news-14746.html




Una alternativa en Guinea Ecuatorial que asusta a Occidente




"Lamentamos la muerte del coronel Muammar Gaddafi. Hacerse cargo de su lucha panafricana es difícil "
- Teodoro Obiang Nguema, presidente de Guinea Ecuatorial

Guinea Ecuatorial y su presidente son el objeto del odio de Occidente. Campañas de desprestigio de las maniobras de desestabilización. El odio que recuerda que rodea la Jamahiriya Libia disparó el Gaddafi. "Sabes, los occidentales tratan de desestabilizarnos desde hace años. Enviaron a los mercenarios, se financian golpes de estado, no se detienen. Cada año, en todo momento, no duermen. Para ellos, Guinea Ecuatorial es un país que tiene una gran cantidad de riqueza y no es normal que los africanos pueden manejarse a sí mismos su propia riqueza, si no hay un tutor que decida hacer esto o aquello. Aquí en Guinea, estamos luchando por la independencia de este país ", dijo el hijo del Presidente Obiang Nguema Teodorín.

Como paso previo a las elecciones generales - El Senado, legislativas y municipales - el 26 de mayo de 2013, el Jefe de Estado de Guinea Ecuatorial había dado 14 de mayo 2013 en Malabo, en una conferencia panafricana de prensa, a los periodistas de África (Camerún, Côte d'Ivoire, Ghana, Nigeria, Comoras, Benin, República Democrática del Congo, Congo-Brazzaville, Chad, etc.) Esbozó un pensamiento panafricano renovado, que, dos años después de la destrucción de la Jamahiriya Libia, donde Muamar Gadafi ejerce un liderazgo moral y político de la Unión Africana allí - y que el presidente de Guinea rindió homenaje - ofrece una alternativa a un proceso Pan que parecía roto.

Poco se sabe de Guinea Ecuatorial (1), país importante en el África occidental, "El nuevo Eldorado petrolero", que significa "hacer presente un nuevo modelo de desarrollo para África" ​​(2). En África está mal, donde las intervenciones y manipulaciones desestabilizan el contienente - Libia, Malí, Costa de Marfil, la República Centroafricana, por no mencionar el "laboratorio" de Somalia - Guinea Ecuatorial es una estabilidad contra-muestra. Desde el año 2011, un proceso de reconstrucción y desarrollo de la vida democrática de la República del estado en curso (3).



'EODE' Y NUESTRA TESIS EN ÁFRICA




Los cargos de Presidente de Guinea Ecuatorial se unen nuestras preocupaciones. EODE ve la unificación de Europa y África, dos tranvías, que se deben hacer en el proceso de simbiosis. Esto significa que no haya intervención de Occidente en África y verdadero respeto por los estados africanos. Esto también significa que el Mediterráneo se convierta en un puente entre los dos continentes y no una frontera, tal como es concebido por la UE y la OTAN.

Esta visión del Mediterráneo, que había sido el primero en desarrollar en los años 90, como un puente era precisamente el de la Jamahiriya Libia. En los años 2000-2010, este punto de vista también fue ampliamente aceptada y compartida por todos los principales actores de los sindicatos europeos y africanos (4). Diplomacia que desagrado a los americanos. Pero la guerra en Libia marca el gran cambio: la destrucción de la Jamahiriya, el retorno a los ataques occidentales y expediciones militares en África, ahogando las ideas pan-africana.

Todo esto va en contra de nuestra visión de un mundo multipolar. El papel central que desempeña el diálogo de las culturas es olvidado y estamos siendo testigos del regreso en el Mediterráneo y África a las tesis del "choque de civilizaciones". El retorno de las tesis panafricanas Malabo es una señal positiva para nosotros va en la otra dirección.

Dice el presidente Teodoro Obiang Nguema ÁFRICA?

He aquí un resumen de las preocupaciones planteadas por el líder de Guinea Ecuatorial (según el resumen de Frédéric Boungou y Alain NJIPOU Radio Camerún):

* Denunció regreso al neo-colonialismo:

"... La búsqueda de soluciones a los males que aquejan a África. Yo estaba a favor de este comercio porque el continente es despreciado internacionalmente. África ha sufrido los horrores de la historia. En primer lugar, el esclavo que le dedicó la violación de los derechos humanos. No podemos, desde nuestro punto de vista, convertir a los humanos en esclavos.

Entonces la colonización. Un período en el que África ha sido expoliada. Los derechos de explotación, la explotación de nuestros recursos. Los que ayer fueron la base de esta operación son también la base de las diversas crisis en el mundo. He mencionado la crisis del neo-colonialismo, la explotación de nuestros recursos ... La preocupación de ciertos poderes es ver cómo pueden acceder a nuestra riqueza. Esto es lo que ocurrió en Libia, donde se ha desestabilizado el país con el fin de controlar las materias primas.
La prensa africana está haciendo su trabajo, informando a los africanos que no confien en las personas que quieren explotar o destruir a África. Es por esta razón por la que seguimos buscando una compensación por los daños y perjuicios de África, víctima de la esclavitud y el colonialismo y el neocolonialismo ahora. África es un continente pobre, dijo. Si somos pobres, es a causa de la explotación de nuestros recursos. Aquellos que no aman a África utilizan frases sin sentido como "ganancias mal habidas" cuando tienen propiedades en África. "

* Desarrolla una visión panafricana después de la muerte de Gadafi:

Lo más destacado del discurso del presidente, es un tributo a la visión panafricana de Muamar Gadafi. Un discurso valiente de lo opuesto y contrario a la propaganda occidental.

"Lamentamos la muerte del coronel Muammar Gaddafi. Hacerse cargo de su lucha panafricana es difícil. Esto sobre todo porque cada país tiene sus diferencias políticas y algunos permanecen. En general, muchos Jefes de Estado africanos estuvieron de acuerdo con las ideas de Gadafi y también los han apoyado. No puedo tomar el relevo. Más bien os invito a otros jefes de estado del continente para estar unidos. Algunos jefes de Estado se rigen por las potencias occidentales, deben evitar caer en la trampa de manipulaciones exógenas a África, debido a que estos poderes no quieren que África avance. "



EL RECHAZO DE DICTADOS OCCIDENTALES




En esta perspectiva anticolonialista, el presidente Teodoro Obiang Nguema se niega dictados de Occidente:

"No acepto la lección de gobernabilidad por personas que no dudan en saquear sistemáticamente y siguen saqueando África. No tengo complejos vis-à-vis con los líderes occidentales. "
"Damos prioridad a la cooperación Sur-Sur, la cooperación inter-africana. Porque primero debemos fortalecer nuestros vínculos. Recuerda que sólo hace cincuenta años que nos hemos librado del yugo colonial. Se necesita tiempo para construir los cimientos para el desarrollo. Pero somos optimistas y nuestro deseo es que África crezca. "
"No esperamos nada de la prensa occidental, para actuar en la dirección de la construcción de África (...) La prensa occidental da una imagen negativa de África. "

Ya el 31 de diciembre pasado, en su "Mensaje a la nación", denunció las potencias imperialistas y la campaña de desinformación de la cual Guinea Ecuatorial es una víctima ", no se sorprenda, porque Guinea Ecuatorial es uno de los países seleccionados por las Potencias para desestabilizar. La gente disfruta de las grandes libertades políticas, económicas, sociales y culturales, hay un desarrollo gradual de la democracia (...) con el desarrollo de la infraestructura económica y social que nos anima a seguir trabajando para lograr la aparición de Guinea Ecuatorial ".

Teodoro Obiang Nguema tanbien con una vision regional "CEMAC"

Comunidad Económica y Monetaria de África Central o la CEMAC es una organización internacional con varios países de África central, creada para tomar el relevo de la Unión Aduanera y Económica de África Central (UDEAC). El Tratado de la CEMAC se firmó 16 de marzo 1994 en Yamena (Chad) y entró en vigor en junio de 1999. Con sede en Bangui (República Centroafricana). El CEMAC comprende Unión Monetaria de África Central (UMAC ) y la Unión Económica de África Central (CUEA). CEMAC está integrado por 6 Estados Miembros: Camerún, República Centroafricana, República del Congo, Gabón, Guinea Ecuatorial y Chad.

El presidente de Guinea Ecuatorial también tiene una visión para la región CEMAC:

"La política de integración en el ámbito de la Comunidad Económica y Monetaria de África Central promueve la libre circulación de personas y mercancías. Sin embargo, se debe tener cuidado de no caer en la trampa de la mala interpretación de esta política. Porque tenemos que controlar el terrorismo, el tráfico de drogas y armas, el bandidaje ... Todas las cosas que perjudican a una comunidad que aspira al desarrollo. Sin embargo, animamos a la libre circulación de los hombres de negocios, estudiantes, científicos, ejecutivos y servicios públicos. En cuanto a la participación de la CEMAC en la resolución de la crisis en la República Democrática del Congo, la solución es, en nuestra opinión, la mediación política. Los Congoleños mismos deben resolver sus problemas. Lo que queremos es que vivan en paz. Este es un gran país. Pero los conflictos dificultan los esfuerzos de desarrollo. Puede ser posible una conferencia nacional para la estabilidad del país ... "



UNA NUEVA DIRECCIÓN EN ÁFRICA





La prensa africana no es un error. Se trata de un nuevo discurso en África. Escuche el análisis Frédéric Boungou (Camerún voz): "Para él es simple: desarrollar, África debe acabar con el yugo neocolonial, sus líderes deben dejar de ser títeres al servicio de Occidente, y pensar, ante todo, en el bienestar de sus ciudadanos. "No tengo complejos vis-à-vis los líderes europeos", argumenta, por ejemplo. África, dijo, tiene un enorme potencial: sus recursos naturales. Debe, por tanto, ser sólo la voluntad de sus líderes los que dirigan la economia. Una profesión de fe? Una verdadera lección a sus pares africanos, sobre todo ... "



HACIA UN MODELO Guinea Ecuatorial




Hacemos hincapié en que Guinea Ecuatorial es una reconstrucción del estado, donde un elaborado proceso de desarrollo de la vida democrática de la República está en curso. En un libro muy duro con el país, Samuel Denantes Teulade (5) ya evocado en Malabo 2009 a cerca de la posibilidad de "un nuevo modelo de desarrollo para África."

El presidente Teodoro Obiang Nguema, quien define a su país como "un estado social y de derecho" (diciembre de 2012), se desarrolla una visión de hoy, sin duda, su país. De regreso a su rueda de prensa este 14 de mayo 2013.

* Insistió en la reconstrucción de las instituciones del Estado:

"El advenimiento del Senado es parte de una visión de conjunto. Estamos trabajando para reformar nuestras leyes y leyes para que los ecuatoguineanos participen de forma efectiva en la gestión de los asuntos públicos, en la política. Es en este contexto que una manera metódica, queremos crear una cámara de representantes, crear el Consejo Social, el Tribunal de Cuentas Económico y ...

Estamos en un proceso democrático que abraza a las realidades de nuestras culturas, nuestras tradiciones, mentalidades ... En un proceso electoral creíble, dos aspectos fundamentales son importantes para completar el proceso electoral. En primer lugar, la inscripción en las listas, la identificación de los votantes que han sido expulsados ​​al punto en que se firmó un documento de plena satisfacción entre los partidos políticos de la oposición y el gobierno. La cuestión de los materiales electorales, incluidos los recursos financieros. En este sentido, el Gobierno ha dado a los recursos financieros adecuados para los partidos políticos. Se tratan todos estos aspectos. Todavía era de esperar, la participación popular en la votación misma. "

* Su objetivo es "la aparición de Guinea Ecuatorial", en palabras de Camerún de voz:

"El Gobierno de la República trabaja por el bienestar de los hijos e hijas de este país. Como prueba, la construcción de viviendas sociales, la construcción de caminos, la creación de una universidad nacional, la creación de centros y otras estructuras educativas ... En este proceso, se da prioridad a la mano de obra local. Ciertamente, no lo vamos a hacer con aquellos que no quieren trabajar, pero les puedo asegurar que Guinea, no hay ningún problema de empleo. Hicimos introducir una ley que requiere que las empresas que operan en nuestro país gasten el 75% del personal contratado en la mano de obra nacional. Además, estas empresas deben tener su sede construida en el lugar ya que cuando estas empresas se vayan de Guinea Ecuatorial, los edificios permanecerán en beneficio de Guinea Ecuatorial. Un programa económico para 2020 tiene como objetivo hacer Guinea Ecuatorial un país autosuficiente emergente. No queremos depender de la dependencia económica. "

* Se centra en la educación, la formación de las elites nacionales:

"Para lograr este hito, se requiere de un entrenamiento. Para el año 2020, queremos que nuestros jóvenes sean académicos. Queremos dejar una nación próspera a la posteridad con jovenes, dinámicos y bien entrenados. Cabe señalar que Guinea Ecuatorial es todavía un país emergente. Algo que no será fácil o si cruzamos los brazos. Necesitamos trabajar. Es en esta perspectiva que estamos trabajando para desarrollar todos los sectores, desde la agricultura a la educación a través de la infraestructura básica y la comunicación. "

* Por último, se tiene la intención de gestionar los recursos naturales y el periodo post-petróleo:

"El programa económico que tiene como objetivo hacer Guinea Ecuatorial un país emergente en el año 2020 tiene en cuenta la necesidad de buscar otras alternativas. Es por eso que ponemos especial énfasis en la formación de los jóvenes, los recursos humanos, ya que es mejor tener un pueblo educado, capacitado a una nación dotada de recursos naturales. El progreso depende de las competencias nacionales. Todos los planes de desarrollo son el resultado de la visión de la gente de Guinea Ecuatorial. En 2020, ya no miramos el petróleo, pero si en un país desarrollado. "

El tiempo parece que ha llegado, con esta visión ambiciosa, y la capacidad del país "El nuevo Eldorado petrolero", un modelo de Guinea Ecuatorial para el África ...

Luc MICHEL


http://www.eode.org/eode-think-tank-analys...nee-equatoriale

https://www.facebook.com/notes/eode-think-t...505496752838772

Notas y referencias:

(1) Cf.. EL ATLAS DE ÁFRICA GUINEA ECUATORIAL, Ed Jeune Afrique (París);
Jean-Claude Klotchkoff, GUINEA ECUATORIAL HOY Publishing Jaguar (París);
Y ECUATORIAL GUINEA, GUINEA ECUATORIAL, Les Editions du Jaguar (París).

(2) Samuel Denantes Teulade, Malabo, GUINEA ECUATORIAL: EL NUEVO ELDORADO Africa Oil, L'Harmattan, París, 2009.

(3) Véase. Luc MICHEL, GUINEA ECUATORIAL: ELECCIONES, LA senatorial MUNICIPAL y 26 de mayo de 2013,
sur http://www.eode.org/eode-international-ele...-le-26-mai-2013

(4) Cf.. Luc MICHEL, "África visionaria": diálogo de las culturas y la cooperación entre los sindicatos africanos y europeos, "La cultura en el centro del diálogo África-Europa! "En LIBIA NOTICIAS Y HECHOS, boletín CEREDD (Bruselas y París) n ° 2150, 25 de octubre de 2010.

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El fantasma del ...
mensaje Apr 12 2014, 08:59 PM
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España y Obiang: la dignidad se tasa en barriles de petróleo




politicaexterior.com
2/04/2014





En una de las anécdotas más conocidas de Franklin Delano Roosevelt, uno de sus asesores le dice que el dictador nicaragüense Anastasio Somoza (o el dominicano Rafael Trujillo, según la versión de la historia) es “un hijo de puta”. “Sí”, responde el presidente, “pero es nuestro hijo de puta”. Así se resume la posición de sucesivos gobiernos españoles con el dictador ecuatoguineano Teodoro Obiang. Como no era suficiente con mantener una relación cordial con Obiang, las autoridades españolas le han invitado a una conferencia en Bruselas. La guinda sobre el pastel: permitir que asista al funeral de Adolfo Suárez.



Obiang, que acumula tres décadas y media al frente de Guinea Ecuatorial, luce el récord mundial de años en el poder. La situación en su país es atroz. “Los arrestos y las detenciones arbitrarias son habituales, y las denuncias regulares de intentonas golpistas suelen servir de pretexto. La detención conlleva con frecuencia la tortura y el maltrato”, denuncia Human Rights Watch. El fraude electoral es rutina. La mayoría de la población malvive en condiciones precarias: Malabo es la única capital del mundo en la que no hay periódicos, ni una sola biblioteca. Todo esto en un país de 722.254 habitantes, que, gracias a las reservas petrolíferas descubiertas en 1995, ostenta un PIB per cápita similar al de Italia o España. El dinero está en manos del clan Obiang y allegados.



Peccata minuta. Las empresas españolas –al igual que las americanas, chinas o francesas­– no quieren perder la oportunidad de hacer negocios en la antigua colonia española. “Lo de Guinea es hoy un verdadero milagro”, proclamó Manuel Fraga al visitar el país en julio de 2009. “Guste o no,” había anunciado Miguel Ángel Moratinos tres años antes, ante la visita del dictador, España debe “ayudar y acompañar” a Guinea Ecuatorial. Y si este servicio desinteresado da dinero, tanto mejor.



No todas las inversiones en el país dan buenos resultados. Para ser tenido en cuenta hace falta llenar los bolsillos de la familia gobernante, y pagar comisiones a un ritmo frenético. El que se niega se convierte en un enemigo de régimen. Así le ocurrió a un inversor catalán, que terminó en la notoria cárcel de Black Beach (antiguamente regida por Obiang), con malaria y al borde de la muerte. Sin duda una historia dramática, pero el error fue hacer negocios con un régimen manifiestamente brutal y corrupto en primer lugar. Teodorín Obiang, hijo predilecto del dictador, ha sido procesado en Francia por blanqueo de dinero.



El último episodio en las relaciones entre España y su antigua colonia es lamentable. La UNED y el Instituto Cervantes han invitado a Obiang a hablar sobre “el español en África” en la IV Cumbre entre la Unión Europea y África, que se celebra el 2 y 3 de abril. Otra mancha en la carrera de José Ignacio Wert, que como ministro de Educación debería haber cortado en seco la iniciativa. Pero la presencia de Obiang en el funeral de Suárez resulta más inaceptable si cabe. So pretexto de que la invitación se extendió a todas las embajadas de países con los que España mantiene relaciones, y que vetar la asistencia de Obiang hubiese perjudicado a los inversores españoles en el país, el gobierno ha degradado la despedida de una de las personas que más hizo por traer la democracia a España. Para colmo de males, Obiang rechazó en 1992 la entrada de Suárez en Guinea Ecuatorial, poco entusiasmado por su intento de mediar en una transición democrática.



Es difícil de negar, por cínico que parezca, que los Estados tienen intereses vitales. La promoción de los derechos humanos por sí sola no es base suficiente para formular una política exterior eficaz. Pero eso no justifica la deriva de la acción exterior española, sacrificando la dignidad del país para facilitar contratos comerciales.



Para más información:

Alexander Smoltcyk, “Rich in Oil, Poor in Human Rights: Torture and Poverty in Equatorial Guinea”. Der Spiegel, 28/8/2006.

Miguel Mora y José María Irujo, “El niño mimado que saquea Guinea”. El País, 4/3/2012.

“Bien engrasado: petróleo y derechos humanos en Guinea Ecuatorial”. Human Rights Watch, 25/11/209.

Juan Velarde Fuertes, “¿El Haití africano?”. Política Exterior 99, mayo-junio 2004.

José María Ridao, “Guinea Ecuatorial en perspectiva”. Política Exterior 54, noviembre-diciembre 1996.


http://www.politicaexterior.com/archives/16697


http://internacional.elpais.com/internacio...751_310526.html
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mensaje Apr 13 2014, 10:43 AM
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CITA(Katharina Von Strauger @ Dec 10 2008, 03:11 PM) *
¿El Haití africano?



Aprender de los errores del pasado



Juan Velarde Fuertes


POLÍTICA EXTERIOR
99. Mayo / Junio 2004




Cuando tomé contacto físico con Guinea Ecuatorial en 1962, en los preludios de la independencia, resplandecía su alto nivel de consumo, público y privado. Me correspondió la responsabilidad, como presidente de la Comisión del Plan de Desarrollo Económico y Social de Guinea Ecuatorial, de calcular, por primera vez, sus macromagnitudes esenciales, con la ayuda del estadístico facultativo Darío Martínez Esteras y del economista del Estado Rafael de Cossío. Ratificaban lo que se contemplaba en las entonces “dos provincias”, y especialmente en la de Fernando Poo.



Todo esto se encuentra en el volumen Plan de desarrollo económico de la Guinea Ecuatorial (comisaría del Plan Económico y Social. Presidencia del gobierno, 1963), con dos largos artículos míos de complemento. Uno titulado “Problemas de empleo en Guinea Ecuatorial”, que apareció en el número 2 (1964), de la Revista de Trabajo, y otro, “El Plan de Desarrollo económico y social de Fernando Poo y Río Muni”, que se publicó en un número especial (julio 1964), de Archivos del Instituto de Estudios Africanos.



La descolonización se hizo mal. Alguna vez habrá que contar por qué el tirano, Francisco Macías Nguema, se hizo con el poder. Cuando fue depuesto, tras el llamado “golpe de libertad”, por el actual presidente, Teodoro Obiang Nguema, dejaba como fruto de su política un país hundido en la miseria. Con la información que existía me fue posible redactar dos ensayos. Uno, largo, que se publicó en el Boletín de la Real Sociedad Geográfica, enero-diciembre 1979, pensando en el futuro, que titulé “Problemas económicos de Guinea Ecuatorial”. Después hubo otro, más breve, basado en un libro qué entonces parecía de cierto interés, que apareció en Ya (23 de agosto de 1980) y que también pensaba en el futuro. Cuando pasó este país del área de la peseta a la del franco CFA, en la reunión franco-española –asombrosamente, para los que saben un poco de historia– de La Granja de San Ildefonso, a causa, daba la impresión, de una exigencia francesa que se relacionaba con nuestro ingreso comunitario, o quizá con la lucha contra el terrorismo de ETA, llamé la atención sobre lo que podía suceder después, casi con un grito de angustia, en el editorial en Ya“¿Adiós a Guinea Ecuatorial?”. Finalmente, preocupado por ciertas tendencias que podrían asentarse en Guinea Ecuatorial, recopilé, como una especie de escalofriante enseñanza del pasado para el futuro, todas las numerosas informaciones que había recogido como representante del gobierno español en las dos visitas que hice a este país nada más caer Macías, y las publiqué, bajo el título de “La economía del terror ”en el tomo Homenaje al profesor Sampedro (Fundación Banco Exterior,1987), ensayo que de algún modo se relaciona con mi editorial en ABC (4 de marzo de 1987).



Después vino lo que algunos habíamos profetizado muchos años antes: la conversión de Guinea Ecuatorial en uno de los países más ricos en hidrocarburos, con lo que experimentó un choque que todos esperábamos que hubiera servido para convertir a esta nación en una maravilla de la costa occidental africana. Sin embargo, como se comprueba, la evolución del PIB –una de las más altas del mundo– provocada por el alza por la extracción de las empresas petrolíferas que allí tienen concesiones no parece marchar paralela con el bienestar material de sus habitantes.



En la etapa de la administración española hubo un buen desarrollo del PIB por habitante. En 1950, el PIB por habitante ecuatoguineano, con 540 dólares internacionales Geary-Khamis de 1990, era el 25,6 por cien del español. En 1968, al otorgar España su independencia, este PIB por habitante fue de 1.424 dólares. Su porcentaje respecto al español era un 25,5 por cien. Como España, tuvo en esta etapa (1950-68), un ritmo vivísimo de progreso económico, al mantenerse su diferencial con Guinea Ecuatorial, se prueba que en este país también existía un fuerte desarrollo. A continuación, el mencionado régimen de terror de Macías, originó un derrumbamiento colosal entre 1969 y 1978. Incluso la caída de la población –que amortigua el descenso del PIB por habitante– se debió a una huida masiva provocada por la brutalidad de aquel régimen. La recuperación apareció en la etapa de la presidencia de Obiang, que en lo económico tuvo tres partes: la presidida por la reorganización del nkuele en el área de la peseta (1979-84); después, el ingreso de Guinea Ecuatorial en el área del franco CFA, que dio paso, en 1995, a la etapa de la explosión petrolífera hasta la actualidad.



Para poder explicar esta última, se deben sintetizar una serie de informaciones que dan sentido a las cifras. De ellas se desprende que, efectivamente, existe en estos momentos por parte del actual gobierno ecuatoguineano, el deseo de que, a través de diversos proyectos, el sector público sea un motor decisivo del desarrollo económico y social del país. Sin embargo, se observa que este deseo está empañado porque los proyectos efectivamente acometidos son escasos por un lado y, por otro, no han fructificado del modo que se esperaba, porque nunca se ha hecho ni seguimiento serio de los mismos, ni en aquéllos que suponían obras de infraestructura se ha financiado de modo correcto su mantenimiento.



La contestación a todo esto es bastante clara. Por un lado, existen serios problemas de ineficacia administrativa, no porque los funcionarios de la administración ecuatoguineana estén poco preparados, sino porque sobre ellos, rompiendo cualquier sentido de jerarquía y de orden, existe el poder de esa especie de PRI ecuatorial que es el Partido Democrático de Guinea Ecuatorial (PDGE), que en realidad actúa como un partido único. Por otro, no es posible olvidar el alto grado de corrupción que existe. Los proyectos que deben desarrollarse por particulares se adjudican a dedo, en relación con amistades y, obviamente, en participaciones de lo conseguido por el empresario que logra la adjudicación de un proyecto. Lo que sí parece bastante claro es que las grandes multinacionales del petróleo, norteamericanas y francesas, no se encuentran sometidas a esa especie de protectorado del PDGE. Ha surgido así, con éstas y otras empresas– por ejemplo, las de la construcción– un dualismo: el mundo laboral y empresarial que no se encuentra sometido a las decisiones del PDGE y el que sí lo está.



Es necesario también tener en cuenta la tensión originada en una población muy compleja étnicamente, que intenta unificar una administración esencialmente controlada por una de esas etnias. Conviene recordar que no es posible entender los problemas ecuatoguineanos sin considerar esto. La presencia española, en el reinado de Isabel II, se vinculó, esencialmente, en colaboración en la isla de Fernando Poo –hoy Bioko– con la etnia bubi. Además de ésta, como consecuencia dé las relaciones con el Caribe español, en esta isla, y muy relacionada con la cultura europea, surgió un grupo negro, pero de arraigo americano y español. Pero igualmente, derivada de la llegada de inmigrantes del África británica –primero, sobre todo, de Sierra Leona y, al final, de Nigeria–, se creó otro grupo, que incluso ocupó puestos económicos y políticos muy importantes, denominado el “fernandino”.



Aparte de ello existe el grupo annobonés en esta isla –que por cierto habla un español perfecto– y con características culturales singulares, al que Macías intentó liquidar físicamente, con un claro designio genocida.



En el continente, en la zona de la costa, con contactos fuertes y tradicionales con Europa, se encontraba una serie de tribus que en su conjunto eran conocidas como los “pueblos playeros”. Precisamente en torno a algunos islotes de ese ámbito, es donde han surgido serios conflictos político-económicos, sobre todo con Gabón, para explotar sus recursos petrolíferos. En el resto del territorio, una etnia guerrera, que parece que comenzó a moverse hacia el Oeste a partir de la región de los Grandes Lagos en el siglo XVIII, el pueblo fang, es la que predomina. Tiene enlaces tribales con Gabón y Camerún y, siendo la misma etnia, se divide en dos fracciones: los okak y los ntumu. En algunos aspectos, es el grupo cultural y políticamente más africano, y también de él surgieron los núcleos políticos que capitanearon tanto la autonomía –recordemos al presidente Bonifacio Ondó–, como la independencia– en la figura de Macías– y el golpe de libertad, del que fue protagonista el actual presidente Obiang.



En estos dos últimos años, el núcleo del poder político más fuerte de esta etnia fang se agrupa en torno al denominado “clan de Mongomo”, por vincularse, en una red de parentescos y amistades muy tupida, con esta localidad, situada en la raya oriental limítrofe con Gabón, donde había sido alcalde, en la época de la provincia española de Río Muni, Macías.



Es preciso tener en cuenta todo esto, así como la existencia de algunas otras influencias, para comprender que un reto fundamental es conseguir que todos esos grupos, algunos de los cuales manifiestan claras tendencias separatistas, actúen conjuntamente, dado, además, lo reducido de su población, únicamente medio millón de habitantes.



Finalmente, en la realidad política construida tras la independencia, no existe seguridad jurídica en el sentido que se entiende en España. Todos los puestos políticos han de pasar por un finísimo tamiz creado por el aparato de información y vigilancia del sistema, control que es bastante eficaz. Aumentan estas coacciones cuando se aproximan las elecciones legislativas y presidenciales.



Esta inseguridad jurídica se acentúa por un alud de órdenes, normas, protocolos que sirven para aumentar el intervencionismo por parte de los mecanismos de control más absurdos, para que quienes los manejen los empleen para obtener ventajas. Así, se crea una cleptocracia basada en que el intervencionismo no tiene otro sentido que hacer posible que quienes ostentan él poder consigan rentas a través de sobornos.



El presidente Obiang se encuentra, pues, en una encrucijada. Si mediante una opción hacia una seria democracia destruye todas estas malas prácticas, quedará en la memoria de los ecuatoguineanos como alguien que impulsó la economía de este pequeño país, como hizo Lee Kuan Yew y el Partido de Acción Popular (PAP) desde1959, que han basado la enorme riqueza de ese opulento dragón oriental llamado Singapur en la limpieza y la eficacia administrativa, para aprovechar así su favorable situación geopolítica en el sureste asiático, exactamente como sucede en esa encrucijada de naciones y de riqueza petrolífera que centran las dos porciones mayores de Guinea Ecuatorial. Seguir como hasta ahora supone convertirse, a corto plazo, en otro Haití. Recordemos que desde hace 200 años, una mezcla de ineficacia, corrupción y terror, con periódicos “emperadores Jones” al frente, ha engendrado en el Caribe una de las zonas de mayor pobreza de todo el mundo.



Los errores del pasado aconsejan a Obiang seguir la senda de Lee Kuan Yew y apartarse de todo lo que significaron el presidente Jean Claude Doc Duvalier, sus tonton macutes y sus herederos, hasta la actualidad. Afortunadamente para Guinea Ecuatorial aún puede estarse a tiempo.




Juan Velarde Fuertes es consejero del Tribunal de Cuentas

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mensaje Apr 14 2014, 05:21 AM
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El Gobierno de Teodoro Obiang denuncia la falta de "respeto y dignidad" con la que España trata a Guinea Ecuatorial



No se hace responsable del deterioro de las relaciones diplomáticas





MADRID, 13 Abr. (EUROPA PRESS)




El Gobierno ecuatoguineano del presidente Teodoro Obiang ha denunciado la falta de "respeto y dignidad" con la que las autoridades españolas tratan a Guinea Ecuatorial al referirse a este país continuamente como una dictadura y ha advertido que no se hace responsable del posible deterioro de las relaciones diplomáticas entre ambos países ante esta actitud por parte de España.


En un comunicado del Gobierno de Guinea Ecuatorial, el Ejecutivo ecuatoguieano carga contra las "absurdas descalificaciones" y la "desinformación" que "continuamente" transmiten las instituciones españolas contra el "honor y la dignidad" del país africano. "En nuestro país reinan la paz, el orden y la concordia nacional, factores que propician un desarrollo económico impresionante y que no se dan en el país de 'dictadura' que se dibuja desde las instituciones españolas", advierte.


En esta línea, Guinea recuerda que fue colonia española y "nunca se ha declarado enemiga de España" y defiende por ello la presencia del presidente Obiang en el funeral de Estado por el expresidente español Adolfo Suárez --"que su participación incomodara a los políticos españoles, es un hecho ajeno a la voluntad del Gobierno ecuatoguineano", indica al respecto-- así como la conferencia prevista en el Instituto Cervantes de Bruselas sobre el español, uno de los derechos y vínculos heredados de la colonización y del que se siente "especialmente orgullosa".



"Si esta situación hiere el honor de España, no sería insólito que la lengua española se perdiera en Guinea Ecuatorial, como anteriormente ya ocurriera en las Islas Filipinas", alega al respecto el Gobierno ecuatoguineano, que reitera que "desde la ocupación" del país africano en 1777 "España nunca ha tratado con respeto y dignidad a Guinea Ecuatorial" y que en "sus relaciones con la colonia africana predominaron siempre la discriminación racial y el interés de explotación de sus recursos naturales".


En esta línea, reclama a las autoridades españolas "un cambio a la hora de tratar el tema de Guinea Ecuatorial" y advierte que ante la "continuidad de este trato discriminatorio y de rechazo contra las instituciones ecuatoguineanas" declina "toda la responsabilidad sobre el futuro de las relaciones diplomáticas entre España y Guinea Ecuatorial".


"Los pueblos son libres y soberanos, e igualmente el pueblo ecuatoguineano es libre y soberano para manifestarse, por su cuenta, contra la dictadura que les fuera infringida (sic) por los regímenes de los distintos Gobiernos", advierte.......




http://www.europapress.es/nacional/noticia...0413191105.html


http://www.guineaecuatorialpress.com/noticia.php?id=5048


http://www.guineaecuatorialpress.com/noticia.php?id=5049
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mensaje Apr 15 2014, 05:22 AM
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Goldman Sachs, al asalto del gas español




El coloso financiero norteamericano Goldman Sachs, que en 2010 aterrizó en el sector energético español con la compra de redes de transporte y distribución de gas a Endesa, se ha propuesto apostar de lleno por este país.





14.04.2014
Madrid
M.Á.Patiño/D.Badía




Goldman ha creado el grupo Redexis Gas a partir de esos activos y ha dotado a la nueva compañía de un mayor músculo financiero para poder crecer, desafiando la caótica situación regulatoria del sector energético en España, que desde hace dos años vive inmerso en una reforma total del mercado.


Redexis Gas, grupo presidido por Fernando Bergasa, acaba de completar una emisión de bonos corporativos por valor de 650 millones de euros. Con esta emisión, Goldman Sachs refinancia tanto la adquisición que se hizo de activos a Endesa, como las inversiones para el lanzamiento inicial de Redexis.


En paralelo, explican fuentes financieras, la nueva compañía gasista creada por Goldman Sachs en España ha logrado un megacrédito sindicado por valor de 300 millones de euros para abordar nuevos proyectos en España dentro de un ambicioso plan de crecimiento a 4-5 años.


En concreto, Redexis Gas ha logrado un crédito sindicado que ha otorgado un grupo de entidades entre las que se encuentran algunas españolas, como La Caixa, BBVA y Banco Popular, y otras extranjeras, entre ellas, RBS, BNP Paribas, Crédit Agricole e ING.


Fuentes de Redexis no quisieron hacer comentarios sobre este crédito. Otras fuentes financieras explican que, inicialmente, tanto el crédito sindicado, como el grupo de entidades que se barajó para la concesión de este préstamo, era mayor. No obstante, el hecho de que la emisión de bonos tuviera tanto éxito, con una demanda que fue cuatro veces superior a la oferta, hizo que se redujera.


El pool de bancos inicial estaba formado por Santander, Bankia, ING, BNP, BBVA, Crédit,La Caixa, Popular, WestLB , Natixis y RBS. Redexis Gas se ha configurado como la segunda empresa de redes de transporte (troncales) de gas, por detrás de Enagás, y la cuarta en distribución, tras Gas Natural Fenosa, Naturgas (grupo EDP) y Madrileña de Gas (Morgan Stanley y Galp). Opera 5.500 kilómetros de redes.


El doble de crecimiento



A diferencia de otros grupos, es totalmente independiente. Se limita a operar una red por la que otros comercializadores venden el gas a clientes finales, pagándole un peaje. Según la presentación corporativa realizada a la banca, desde que Goldman aterrizó en este negocio, los activos de Redexis han crecido a un ritmo del 2,3% en puntos de conexión, más del doble que la media del sector.


El grupo tiene ya más de 384.000 puntos de suministro, un 5% de los 7,4 millones de puntos de conexión de gas que existen en España. Con los nuevos recursos financieros, Redexis tiene previsto acelerar su plan y crecer a un ritmo de entre el 3% y el 4% en los próximos cuatro años, con una inversión media de unos 70 millones.


La apuesta de Goldman por la distribución gasista se produce a pesar de que el Gobierno va a aprobar una reforma normativa del sector para evitar excesos de costes, como en la electricidad. Aunque puede haber recortes a las empresas, el gas aún tiene potencial.


Las redes de distribución son el único segmento del sector de la energía que sigue creciendo. En España, solo un 28% de los hogares tiene acceso a redes de gas, frente al 48% de media en Europa.



http://www.expansion.com/2014/04/14/empres...mp;t=1397535365
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mensaje Apr 16 2014, 05:28 AM
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Guinea entra en cólera contra Rajoy por el trato dado a Obiang en el funeral de Suárez



AMENAZAN CON ROMPER RELACIONES






elconfidencial.com
15/04/2014 (05:00)





Los ecos de la última visita a Madrid del dictador guineano Teodoro Obiang aún colean en la excolonia española. Su presencia incómoda en el funeral de Estado del expresidente Adolfo Suárez y el trato “discriminatorio y de rechazo”, según el Ejecutivo guineano, ha tensado un grado más las relaciones con la república africana, que ha amenazado, incluso, con romper relaciones diplomáticas. En el memorial de agravios, los sucesivos desplantes hechos a Obiang en los últimos días. Desde la frialdad del saludo con el Rey en la catedral de la Almudena, que se llevó a cabo en unas dependencias sin cámaras de televisión y sin fotografías oficiales, hasta el desplante de Rajoy, a última hora, durante la cena posterior a la Cumbre UE/África celebrada en Bruselas la semana pasada, pasando por una pregunta parlamentaria del portavoz del PNV, Aitor Esteban, a Rajoy han terminado por abrir la caja de los truenos.



El Gobierno y el partido que sustenta a Obiang han reaccionado de forma coordinada y contundente en defensa de su presidente a raíz de la respuesta que Rajoy dio en el Congreso al diputado nacionalista, que le había reprochado que hubiera saludado siquiera al dictador africano y le instó a que haga, por tanto, otro gesto semejante con la oposición del país. Rajoy señaló entonces que el problema “hay que resolverlo de forma inteligente”, una afirmación que, lejos de ser diplomática, ha indignado aún más a las autoridades de la excolonia, que le piden que se meta en sus asuntos.



“El Gobierno de la República de Guinea Ecuatorial ignora la clase de “solución inteligente entre todos” que los políticos de España desean dar a la República de Guinea Ecuatorial”, ha respondido el Ejecutivo del país africano en un duro comunicado emitido este domingo y dirigido también a todos los políticos españoles. “Si dicha solución inteligente consiste en apoyar operaciones de invasiones mercenarias como las que han venido apoyando gobiernos anteriores españoles contra la estabilidad de Guinea Ecuatorial, con la anuncia de sus instituciones parlamentarias, habría seguramente que buscar otro apelativo para la democracia española”..............




http://www.elconfidencial.com/espana/2014-...-suarez_116838/
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mensaje Apr 19 2014, 11:16 AM
Publicado: #5693


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¿A quién pertenece África?



La lucha de los agricultores malienses por la tierra de la que viven y donde tienen enterrados a sus antepasados




El 90% de tierra africana no tiene dueño registrado, aunque en muchos casos las mismas familias hayan trabajado y vivido de ella durante generaciones. Empresas agricultoras internacionales ven en el continente una oportunidad y los gobiernos locales a menudo les dan la bienvenida como portadores del progreso. Pero para el campesino, que pierde tanto sus cultivos como el lugar donde están enterrados sus antepasados, la llegada de estas grandes compañías es un desastre. En estos extractos del documental 'Fiebre de tierra', dirigido por Hugo Berkeley y Osvalde Levat, agricultores malienses describen su lucha por frenar la compraventa de la tierra.



http://elpais.com/elpais/2014/04/16/planet...088_379029.html


http://elpais.com/elpais/2014/02/20/planet...428_268776.html


http://elpais.com/elpais/2014/01/14/planet...517_072209.html


http://elpais.com/elpais/2014/01/02/planet...006_027501.html


http://www.huffingtonpost.es/vicky-ramirez..._b_5131294.html


http://cdn.gfmag.com/images/stories/Wealth...n_Year_2015.pdf


http://internetcensus2012.bitbucket.org/images/geovideo.gif
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mensaje Apr 21 2014, 06:03 PM
Publicado: #5694


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Rajoy y Obiang





Por José Luis Barceló
Editor-Director de El Mundo Financiero
www.elmundofinanciero.com
Última actualización 18/04/2014@11:20:11 GMT+1




El encuentro, o más bien el desencuentro, entre los mandatarios de España, el presidente Mariano Rajoy, con el de la República de Guinea Ecuatorial, Teodoro Obiang Nguema, con motivo de la reciente cumbre Africa-Unión Europea celebrada en Bruselas, suponen un punto para reflexionar acerca de la política exterior española y la necesidad de reenfocarla hacia la recuperación del diálogo con el entorno cultural hispano en el mundo. Un dato ha sido cierto: mientras Rajoy despreciaba la foto y la reunión con su homólogo africano, muchos otros mandatarios han buscado sentarse a la mesa de Obiang y ocupar el espacio desalojado por España en sus relaciones con Guinea Ecuatorial. La presencia estadounidense o china ocupan hoy un espacio primordial en el país africano.



La reciente cumbre África-Unión Europea que se ha celebrado en Bruselas y que ha reunido a los ministros de exteriores europeos y africanos para abordar problemas Norte-Sur, ha concitado una inusitada atención en torno a los líderes y las propuestas. El premier español, el conservador Mariano Rajoy, logró que en la agenda se incluyera su propuesta de tratar el asunto de la inmigración ilegal que asedia casi a diario las fronteras españolas en los enclaves africanos de Ceuta y Melilla, aunque no se ha alcanzado ninguna decisión que resuelva este problema que asedia las fronteras de la UE por tierra y mar.



Pero lo que más ha llamado la atención ha sido la resistencia de Mariano Rajoy a dejarse fotografiar con Teodoro Obiang Nguema, presidente de la República de Guinea Ecuatorial, una antigua provincia española que ha tenido la suerte de toparse con inmensos yacimientos de gas y petróleo en el subsuelo de la plataforma marina de sus aguas territoriales. Obiang ha aprovechado su viaje a Europa y pudo tomar parte igualmente en el funeral por el fallecimiento del ex presidente español Adolfo Suárez, impulsor de la transición española a raíz de la muerte de Franco en 1975, pero Rajoy y los ministros españoles rehuyeron el contacto con el mandatario ecuatoguineano para no “verde contaminados” en los medios de comunicación.



Al cabo del tiempo, no deja de resultar irónico que el mismo Obiang Nguema naciera como español en 1942, y que incluso llegara a formarse como militar en la Escuela del Oficiales del Ejército de Tierra que España tiene aún en Zaragoza, de la que salió como Teniente. Hoy en España se le trata como a un apestado, pero no actúan igual otros países que han visto en Guinea Ecuatorial una oportunidad de negocio.



El sentimiento del ecuatoguineano frente a sus homólogos españoles es como el de los padres que han abandonado a su hijo: dolor por el abandono y la indiferencia, pero altivez por la independencia lograda. La República de Guinea Ecuatorial es hoy un país de contrastes, como pudo quedar de manifiesto en el transcurso del Foro Emerging Equatorial Guinea, celebrado en Malabo el 3 y 4 de febrero pasado con la concurrencia de una nutrida representación de autoridades financieras y monetarias mundiales, inversores internacionales y autoridades diversas. Pero también llamó la atención el reconocimiento que brindan hoy a Guinea Ecuatorial –y a su presidente Obiang-, los países del entorno africano, especialmente los del Golfo de Guinea, antaño rivales, que reconocen en Guinea Ecuatorial una evolución, no solamente en lo económico o en las inversiones, sino también en lo social y en lo político.



Obiang es un militar más que un político, y su orientación siempre va enfocada a lograr éxitos y objetivos concretos. Guinea Ecuatorial ha pasado muy rápidamente de estar considerado como país bajo en los índices de desarrollo humano (IDH), a considerarse como medio, con un IDF del 0,55, y los expertos consideran que en el transcurso del próximo quinquenio alcance la categoría de desarrollo alto con un IDH por encima de 0,70. Buena parte de estos evidentes éxitos y del exponencial crecimiento que está experimentando el país, se deben a la suerte granjeada por sus reservas petrolíferas.



Aunque en este contexto, la situación de España con respecto a Guinea Ecuatorial es inconcebible para muchos, pues cuestiona uno de los pocos dirigentes africanos que es respetado a la vez por China, Estados Unidos o Francia a la vez. España se mantiene en recesión en esta zona del mundo, como le ocurre en muchas otras, pero aquí se percibe con un sentimiento emocional que no se capta en el resto. Guinea Ecuatorial es hoy el único país de África en que se habla español, aunque este idioma también está en retroceso a favor del inglés o del francés. El Foro Emerging Equatorial Guinea fue una buena muestra: escasas fueron las empresas españolas presentes, frente a un aluvión de inversores y compañías francesas o norteamericanas: los whiskies de los after hour de las sesiones se producían en inglés sobre las barras de los bares de los hoteles.



Los pecados de España con Guinea Ecuatorial arrancan de mucho tiempo atrás: Hispanoil abandonó las explotaciones petrolíferas, y simultáneamente las compañías españolas se retiraban de las explotaciones pesqueras o el negocio del cacao. Es por ello que no deja de asombrar la manera en que España y su gobierno ignora a todos los que tuvieron que ver con su pasado en una dinámica como una huida hacia adelante: mientras Rajoy no se quiere sentar a la mesa con el mandatario ecuatoguineano hay decenas de dignatarios de todo el mundo que están deseando tener la oportunidad para sentarse al lado de Obiang y tratar de negocios a la misma altura que lo hacen los franceses y los estadounidenses. Si España fue en el pasado el primer socio económico de Guinea Ecuatorial, hoy ese espacio ha sido cedido hasta el tercer puesto en beneficio de Estados Unidos y China. Y la distancia crece.



Guinea Ecuatorial ha sabido ganarse a pulso un reconocimiento creciente en la esfera de las relaciones exteriores centroafricanas, y no ha sido precisamente con la ayuda de España. Los avances en electrificación, agua corriente o viviendas sociales son notorios, siendo uno de los países del entorno que más rápidamente ha avanzado en los últimos años. También es el único que ha conseguido controlar pandemias como las del paludismo, o que ha logrado una altísima cota de escolarización infantil. Guinea Ecuatorial tiene por delante un futuro prometedor para un país que reúne poco más de 700.000 habitantes en un territorio relativamente pequeño.



Y la confianza que le merece al inversor extranjero es precisamente la de la seguridad que garantiza la presencia de numerosas compañías extranjeras, en un entorno estable y de constante crecimiento. Para muchos dirigentes africanos, Guinea Ecuatorial ha pasado por Bruselas como un ejemplo, un modelo envidiable y a seguir al que todos quisieran parecerse.



http://www.elmundofinanciero.com/noticia/2...y-y-Obiang.html
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mensaje Apr 22 2014, 05:19 AM
Publicado: #5695


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El más lúcido escritor africano en lengua española visita Antas



Donato Ndongo-Bidyogo publica libros mientras denuncia el régimen de Guinea Ecuatorial



elalmeria.es
Ricardo Alba
antas
Actualizado 18.04.2014 - 01:00





En el transcurso de una fugaz estancia en Antas, Donato Ndongo-Bidyogo periodista y escritor de Guinea Ecuatorial exiliado en España por su oposición a la dictadura de Teodoro Obiang, ha impartido recientemente la conferencia 'Europa-África, desafíos para una convergencia', un tratado sobre las relaciones entre ambos continentes y sus habitantes, invitado por la asociación cultural Argaria.


Donato Ndongo-Bidyogo periodista y escritor, ha sido delegado de la Agencia EFE en África Central y colabora sobre temas africanos en Radio Exterior de España, Cadena COPE, Cadena SER, Mundo Negro, Diario 16, El País, ABC, Historia 16, Índice, Destino, Claves y Economía Exterior. Un breve repaso por su faceta literaria muestra la profusión de su obra: ha publicado las novelas 'Las tinieblas de tu memoria negra', traducida al francés y al inglés, 'Los poderes de la tempestad' y 'El metro'. Los libros de relatos 'El sueño' y 'La travesía', éste bajo el pseudónimo de 'Francisco Abeso Nguema', el poemario 'Cántico' y los ensayos 'Historia y tragedia de Guinea Ecuatorial', 'Antología de la literatura guineana', 'España en Guinea: construcción del desencuentro, 1778-1968' y 'Literatura de Guinea Ecuatorial', estos dos últimos en colaboración con otros autores.


En su vertiente docente ha sido director adjunto del Colegio Mayor Universitario 'Nuestra Señora de África', en Madrid; director adjunto del Centro Cultural Hispano-Guineano de Malabo y director del Centro de Estudios Africanos de la Universidad de Murcia. En la Universidad de Missouri ha impartido las asignaturas de Redacción periodística y de Literatura africana de expresión española.


Sin embargo todas sus actividades las ha compaginado siempre con la labor política cuyo objetivo es que en Guinea Ecuatorial se instaure la democracia. "En mi país no existe la dictadura, lo que hay es una tiranía de Obiang Ngema. Parece que ahora la comunidad internacional se están dando cuenta de lo que nosotros padecemos y venimos denunciando desde hace 35 años". Donato Ndongo-Bidyogo , presidente de la comisión ejecutiva del Partido del Progreso de Guinea Ecuatorial, se halla inmerso en la etapa de forzar la caída de la tiranía, "una tarea muy compleja porque no tenemos los suficientes apoyos, ni siquiera el moral ¿y porqué? sencillamente,por los intereses. Obiang es una de las personas más ricas del mundo, según la revista Forbes, debido a que Guinea Ecuatorial se ha convertido en el tercer país productor de petróleo y gas de África subsahariana". A Ndongo-Bidyogo no le preocupa y se ocupa únicamente del acontecer de su país, si no y también del continente africano al decir "ningún país de África necesita caridad, lo que precisamos es que la riqueza no la acaparen los tiranos y tengan al pueblo con hambre. Es vergonzoso ver esas imágenes de africanos intentando pasar una valla. Y esto pasa porque tenemos tiranías que nos impusieron . Hasta cuándo se va a tolerar esto".




http://www.elalmeria.es/article/almeria/17...sita/antas.html
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mensaje Apr 22 2014, 06:13 PM
Publicado: #5696


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El círculo de tiza


Lo que nos cuenta es lo que hemos vivido y seguimos viviendo mientras persiste la sociedad rural que se niega a ser enterrada




Sergio Ramírez
22 ABR 2014 - 00:05 CET



Embriagado por la gloria y las victorias militares inverosímiles, el coronel Aureliano Buendía decidió que nadie podría acercársele a menos de tres metros de distancia, y sus edecanes trazaban a su alrededor un círculo de tiza que ninguno estaba autorizado a traspasar, ni siquiera su madre.


Dentro de ese círculo de tiza lo que hay es soledad absoluta, y no llegan hasta allí las voces de fuera porque el poder absoluto sólo tiene respuestas tajantes que no necesitan preguntas. El caudillo, venga de la academia o del rango de los iletrados, busca convertir a las instituciones en meros decorados para imponer su voluntad única que termina siendo la razón de estado. Es la misma soledad sin ecos de Zacarías, el dictador de El otoño del patriarca, en toda su parafernalia arbitraria de desmanes.



Pero también es la soledad del poder con todo su caudal de miserias y derrotas, como en el último viaje de Bolívar hacia su muerte en El general en su laberinto, solo y ya sin gloria. García Márquez no eligió el resplandor épico del libertador cruzando una y otra vez los Andes a caballo, algo que de por sí entra en el reino de las exageraciones, sino el íntimo desastre del final de su vida sacrificada en vano..............



..............García Márquez venía de esa generación de latinoamericanos que había crecido bajo las dictaduras bananeras instauradas por Estados Unidos durante los años más álgidos de esa misma Guerra Fría, y entre sus palabras y la acción no había distancia. Un conspirador curtido, además, y fue en esa calidad que lo conocí, dispuesto a hacer todo lo que pudiera para lograr el derrocamiento de la familia Somoza. Un escritor comprometido, como decíamos ayer.


El relato del poder alcanza en su escritura esas dimensiones alucinantes que tan bien conocemos, y la realidad se vuelve la hija pródiga de la imaginación hasta desconcertarnos; pero lo que nos cuenta es lo que hemos vivido y seguimos viviendo mientras persiste la sociedad rural que se niega a ser enterrada. Y esa es la magia. A través de la ficción aprendemos que el poder, su erótica y sus trasuntos no cambian nunca, enquistado como está en las entretelas del corazón humano, una bestia peligrosa que algunos logran domesticar y otros más bien azuzan dentro de sí mismos.



http://cultura.elpais.com/cultura/2014/04/...935_789062.html
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mensaje Apr 23 2014, 05:15 AM
Publicado: #5697


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Una misión de la UNESCO visita Guinea Ecuatorial





lavanguardia.com
Política
22/04/2014 - 17:17h




Redacción Internacional, 22 abr (EFE).- La subdirectora general del Departamento de África de la UNESCO, Lalla Aïcha, calificó hoy de "excelente y fructífera" la cooperación que mantiene este organismo de la ONU con Guinea Ecuatorial, tras entrevistarse en la ciudad de Bata, con el presidente del país, Teodoro Obiang.

En breves declaraciones emitidas hoy por la televisión estatal, Aicha, que encabeza una delegación de la UNESCO que visita Guinea Ecuatorial desde el pasado domingo, reveló que habló con Obiang, de la próxima reunión de la Comisión Mixta y de las perspectivas de financiación.

La "UNESCO quiere acompañar a Guinea Ecuatorial en su programa de desarrollo", dijo la subdirectora general del Departamento de África que aseguró que el premio UNESCO-Guinea Ecuatorial de investigación en Ciencias de la Vida aprobado en 2012, fue una "iniciativa y acción humanitaria del presidente Obiang".

Además de la reunión con el Jefe de Estado ecuatoguineano, se ha entrevistado con el ministro de Asuntos Exteriores y Cooperación Internacional, Agapito Mba, y con el viceprimer ministro segundo y ministro de Educación y Ciencia, Lucas Nguema Esono.



http://www.lavanguardia.com/politica/20140...ecuatorial.html

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mensaje Apr 25 2014, 05:17 AM
Publicado: #5698


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Obiang recibe en la ciudad de Bata a exministro de Exteriores de España




elconfidencial.com
Redacción Internacional, 23 abr (EFE)
23/04/2014 (16:34)




El presidente de Guinea Ecuatorial, Teodoro Obiang, recibió hoy en el Palacio África de Bata, región continental de Río Muni, al exministro de Asuntos Exteriores de España Miguel Ángel Moratinos, junto a un grupo de empresarios españoles, informó la televisión ecuatoguineana.

Moratinos, visita la antigua colonia española en África subsahariana, después de que el pasado día 14 de abril el partido del Gobierno en Malabo amenazara con "cortar" las relaciones con Madrid ante los continuos "insultos y descalificaciones" de políticos y medios de comunicación españoles a Obiang y a las instituciones del Estado.

Tras la audiencia, Moratinos, señaló a la televisión pública guineana que: "he venido con el mismo espíritu que fue el presidente Obiang a España, para seguir mostrando el reforzamiento de nuestras relaciones".

También sostuvo que entre ambos países debe haber una "voluntad de seguir tejiendo juntos una relación estratégica".

El exministro dijo que está acompañado de "hombres emprendedores que quieren seguir trabajando para reforzar las relaciones España-Guinea Ecuatorial en distintos sectores de la cooperación económica".

"España tiene que mirar a África a través de su gran amigo que es Guinea Ecuatorial", señaló.

Por otra parte, Moratinos, habló de vincular la relación entre España, Guinea Ecuatorial y Latinoamérica.

"Tenemos que ir trabando una relación triangular entre África, Europa y Latinoamérica. Y España y Guinea Ecuatorial pueden desempeñar ese punto de eslabón de enlace", concluyó el exjefe de la diplomacia española. EFE



http://www.elconfidencial.com/ultima-hora-...-espana_238587/


http://www.libertaddigital.com/internacion...gn=mascomentado
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mensaje Apr 26 2014, 09:44 AM
Publicado: #5699


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Obama invita a Obiang a la cumbre de líderes africanos de agosto próximo



El embajador estadounidense en Guinea Ecuatorial confirmó la invitación tras reunirse con el mandatario


lavanguardia.com
Internacional
25/04/2014 - 17:06h
Última actualización: 25/04/2014 - 17:18h



El presidente de Guinea Ecuatorial, Teodoro Obiang, viajará a Estados Unidos el próximo agosto para asistir a la Cumbre de líderes africanos, anunció hoy el embajador estadounidense en Malabo, Mark Asquino, al salir de la audiencia que mantuvo con el Jefe de Estado ecuatoguineano.

Asquino, dijo en declaraciones difundidas por la televisión local del país que la audiencia ha servido para entregar a Obiang, "una invitación formal para asistir a la cumbre que el presidente (Barack) Obama va a tener en Washington con líderes africanos".

El diplomático estadounidense indicó que la cumbre que se celebrará el 5 y 6 de agosto próximo, tendrá como principal tema "inversión para la futura generación".

Asquino, que se entrevistó con Obiang en el Palacio África de la ciudad de Bata, parte continental de Guinea Ecuatorial, calificó de "muy productiva y grata" la reunión.

Agregó que además de la cumbre, han hablado también de temas como "gobernanza, desarrollo económico, paz, seguridad y educación", según la televisión estatal ecuatoguineana.



http://www.lavanguardia.com/politica/20140...to-proximo.html


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mensaje Apr 29 2014, 05:17 AM
Publicado: #5700


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Alfombra roja’ a Teodoro Obiang



CARTAS AL DIRECTOR
Olga Lutz Herrera
9 ABR 2014 - 00:00 CET



En relación con la noticia publicada en EL PAÍS desde su delegación en Bruselas sobre la conferencia del presidente de Guinea Ecuatorial en el Centro de la UNED en Bruselas el 31 de marzo de 2014, acto académico anulado debido a la participación del mandatario africano en los funerales del presidente Adolfo Suárez, me gustaría hacer las matizaciones siguientes:


Los gastos del acto no estaba previsto que fueran financiados con fondos públicos españoles, sino con fondos de Guinea Ecuatorial. Además, a los centros en el extranjero se les han suprimido los apoyos públicos, teniendo la UNED que hacer frente a los gastos de estos centros con sus propios fondos.


En el Centro de la UNED de Bruselas, efectivamente, se invitó a miembros del cuerpo diplomático y representantes de las instituciones comunitarias (Comisión Europea, Parlamento Europeo, etcétera), pues estos representantes son asistentes habituales a las conferencias del Centro y muchos de ellos también alumnos de la UNED. A título de ejemplo, recordemos la presentación en el Centro de Bruselas, del libro: La crisis del euro, de Josep Borrell en diálogo con un antiguo corresponsal en Bruselas del diario EL PAÍS.


Tampoco es la UNED la única universidad en Guinea Ecuatorial. Fue la única hace más de 35 años cuando España, en el marco de su política de cooperación al desarrollo, inició a través de la UNED el apoyo a la educación superior con la creación de los centros de Malabo y Bata destinados a las capas más pobres de la población, subvención en riesgo de suprimirse.


Finalmente, la actual política comunitaria pretende tender puentes a los países africanos iniciando desde 2007 un diálogo entre iguales y potenciando la educación superior como una herramienta de disminución de las desigualdades y la lucha contra la pobreza; en ese marco planteamos la conferencia de Bruselas.



Olga Lutz Herrera. Directora del Centro de la UNED en Bruselas y exagente de la Dirección General de Ayuda Humanitaria de la Comisión Europea.
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